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-381 1967
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1944 1991

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Cours de linguistique générale

Ferdinand de Saussure

1960

p. 169

C'est parce que « la langue est une forme et non une substance » (p. 169) que, paradoxalement, l'activité de la parole peut et doit toujours y puiser.

Cited in De la grammatologie p.95

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Cours de linguistique générale

Ferdinand de Saussure

1960

p. 166

Mais si elle est une forme, c'est parce que « dans la langue il n'y a que des différences » (p. 166).

Cited in De la grammatologie p.95

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Cours de linguistique générale

Ferdinand de Saussure

1960

p. 30

Et pourquoi Saussure dit de la langue qu'elle « n'est pas une fonction du sujet parlant » (p. 30).

Cited in De la grammatologie p.95

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L'écriture et la différence

Jacques Derrida

1967

Nous avons tenté de ce point de vue une lecture de Freud (Freud et la scène de l'écriture, in L'écriture et la différence). Elle met en évidence la communication entre le concept de trace et la structure du « à-retardement » dont nous parlions plus haut.

Cited in De la grammatologie p.95

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Un Coup de dés jamais n'abolira le hasard

Stephane Mallarmé

1952

Aucune intuition ne peut s'accomplir au lieu où « les "blancs" en effet assument l'importance » (Préface au Coup de dés).

Cited in De la grammatologie p.95

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La religion égyptienne

Jacques Vandier

1949

p. 39

Par exemple : « En règle générale, l'œil d'Horus est devenu l'œil lunaire. La lune, comme tout ce qui touche au monde astral, a beaucoup intrigué les Égyptiens. D'après une légende, la lune aurait été créée par le dieu-soleil pour le remplacer pendant la nuit : c'était Thot que Rê avait désigné pour exercer cette haute fonction de suppléance. Un autre mythe essayait d'expliquer les vicissitudes de la lune par un combat périodique dont les protagonistes étaient Horus et Seth. Au cours de la lutte, l'œil d'Horus lui fut arraché, mais Seth, finalement vaincu, fut obligé de rendre à son vainqueur l'œil qu'il lui avait enlevé ; d'après d'autres versions, l'œil serait revenu lui-même, ou encore aurait été rapporté par Thot. Quoi qu'il en soit, Horus retrouve avec joie son œil, et le remet à sa place après l'avoir purifié. Les Égyptiens ont appelé cet œil l'oudjat, "celui qui est en bonne santé". Nous verrons que le rôle de l'œil oudjat a été considérable dans la religion funéraire, dans la légende osirienne et dans la cérémonie de l'offrande. Cette légende… eut plus tard une contre-partie solaire : on racontait que le maître universel, à l'origine du monde, s'était vu, on ne sait pour quelle raison, privé de son œil. Il chargea Shou et Tefnout de le lui ramener. L'absence de ces deux messagers fut si longue que Rê fut obligé de remplacer l'infidèle. L'œil, lorsqu'il fut enfin ramené par Shou et par Tefnout, se mit dans une grande colère (a), en voyant que sa place avait été prise. Rê, pour l'apaiser, le transforma en serpent-uraeus, et le plaça sur son front comme symbole de sa puissance ; en outre, il le chargea de le défendre contre ses ennemis. » (a) L'œil versa des larmes (rémyt) d'où naquirent les hommes (rémet) ; l'origine mythique des hommes répose, comme on le voit, sur un simple jeu de mots (Jacques Vandier, La religion égyptienne, PUF, p. 39-40.)

Cited in De la grammatologie p.96

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Rêveries du promeneur solitaire in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I

Jean-Jacques Rousseau

p. 1066

On rapprochera ce mythe de suppléance de l'histoire de l'œil chez Rousseau (cf. plus bas, p. 206).

Cited in De la grammatologie p.97

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Essais de linguistique générale

Roman Jakobson

1963

pp. 87-88

« Le flux du langage parlé, physiquement continu, confronta à l'origine la théorie de la communication à une situation "considérablement plus compliqué" (Shannon et Weaver) que ce n'était le cas pour l'ensemble fini d'éléments discrets que présentait le langage écrit. L'analyse linguistique, cependant, est arrivée à résoudre le discours oral en une série finie d'informations élémentaires. Ces unités discrètes, ultimes, dites "traits distinctifs" sont groupées en "faisceaux" simultanés, appelés phonèmes, qui, à leur tour, s'enchaînent pour former des séquences. Ainsi donc la forme, dans le langage, a une structure manifestement granulaire et est susceptible d'une description quantique. »

Cited in De la grammatologie p.97

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La trace de l'autre

Emmanuel Levinas

1963

Cf. notamment La trace de l'autre in Tijdscrift voor filosofie, sept. 1963, et notre essai Violence et métaphysique, sur la pensée d'E. Levinas, in L'écriture et la différence.

Cited in De la grammatologie p.98

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L'écriture et la différence

Jacques Derrida

1967

Cf. notamment La trace de l'autre in Tijdscrift voor filosofie, sept. 1963, et notre essai Violence et métaphysique, sur la pensée d'E. Levinas, in L'écriture et la différence.

Cited in De la grammatologie p.98

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Citation

Sein und Zeit

Martin Heidegger

1963

pp. 404-428

Et surtout d'un « concept vulgaire du temps ». Nous empruntons cette expression à Heidegger. Elle désigne, à la fin de Sein und Zeit, un concept du temps pensé à partir du mouvement spatial ou du maintenant, et qui domine toute la philosophie, de la Physique d'Aristote à la Logique de Hegel.

Cited in De la grammatologie p.100

Footnote

Ousia et Grammè, note sur une note de Sein und Zeit

Jacques Derrida

1968

Nous nous permettons de renvoyer ici à un essai (à paraître), Ousia et Grammè, note sur une note de Sein und Zeit.

Cited in De la grammatologie p.100

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Cours de linguistique générale

Ferdinand de Saussure

1960

p. 103

« Les signifiants acoustiques ne disposent que de la ligne du temps ; leurs éléments se présentent l'un après l'autre ; ils forment une chaîne. Ce caractère apparaît immédiatement dès qu'on les représente par l'écriture... » « Le signifiant, étant de nature auditive, se déroule dans le temps seul et a les caractères qu'il emprunte au temps : a) il représente une étendue, et, b) cette étendue est mesurable dans une seule dimension : c'est une ligne ».

Cited in De la grammatologie p.101

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Cours de linguistique générale

Ferdinand de Saussure

1960

pp. 64-65

Voir aussi tout ce qui concerne le « temps homogène », p. 64 sq.

Cited in De la grammatologie p.101

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Le Mot

André Martinet

1965

Cf. aussi l'article de Diogène déjà cité.

Cited in De la grammatologie p.101

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Les anagrammes de Ferdinand de Saussure

Jean Starobinski

1964

p. 254

« Que les éléments qui forment un mot se suivent, c'est là une vérité qu'il vaudrait mieux ne pas considérer, en linguistique, comme une chose sans intérêt parce qu'évidente, mais qui donne d'avance au contraire le principe central de toute réflexion utile sur les mots. Dans un domaine infiniment spécial comme celui que nous avons à traiter, c'est toujours en vertu de la loi fondamentale du mot humain en général que peut se poser une question comme celle de la consécutivité ou non-consécutivité ».

Cited in De la grammatologie p.101