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-381 1967
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1944 1991

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Le débat sur les écritures et l'hiéroglyphe aux XVIIe et XVIIIe siècles

Madeleine V.-David

1965

On peut la considérer comme le développement d'un essai publié dans la revue Critique (décembre 1965 - janvier 1966). L'occasion nous en avait été donné par trois importantes publications : M. V.-David, Le débat sur les écritures et l'hiéroglyphe aux XVIIe et XVIIIe siècles (1965) (DE) ; A. Leroi-Gourhan, Le geste et la parole (1965) (GP) ; L'écriture et la psychologie des peuples (Actes d'un colloque, 1963) (EP).

Cited in De la grammatologie p.7

Footnote

De la grammatologie I

Jacques Derrida

1965

On peut la considérer comme le développement d'un essai publié dans la revue Critique (décembre 1965 - janvier 1966). L'occasion nous en avait été donné par trois importantes publications : M. V.-David, Le débat sur les écritures et l'hiéroglyphe aux XVIIe et XVIIIe siècles (1965) (DE) ; A. Leroi-Gourhan, Le geste et la parole (1965) (GP) ; L'écriture et la psychologie des peuples (Actes d'un colloque, 1963) (EP).

Cited in De la grammatologie p.7

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Footnote

L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque

1963

On peut la considérer comme le développement d'un essai publié dans la revue Critique (décembre 1965 - janvier 1966). L'occasion nous en avait été donné par trois importantes publications : M. V.-David, Le débat sur les écritures et l'hiéroglyphe aux XVIIe et XVIIIe siècles (1965) (DE) ; A. Leroi-Gourhan, Le geste et la parole (1965) (GP) ; L'écriture et la psychologie des peuples (Actes d'un colloque, 1963) (EP).

Cited in De la grammatologie p.7

Footnote

Le geste et la parole

André Leroi-Gourhan

1965

On peut la considérer comme le développement d'un essai publié dans la revue Critique (décembre 1965 - janvier 1966). L'occasion nous en avait été donné par trois importantes publications : M. V.-David, Le débat sur les écritures et l'hiéroglyphe aux XVIIe et XVIIIe siècles (1965) (DE) ; A. Leroi-Gourhan, Le geste et la parole (1965) (GP) ; L'écriture et la psychologie des peuples (Actes d'un colloque, 1963) (EP).

Cited in De la grammatologie p.7

Epigraph

Essai sur l'origine des langues

Jean-Jacques Rousseau

1817

Ces trois manières d'écrire répondent assez exactement aux trois divers états sous lesquels on peut considérer les hommes rassemblés en nation. La peinture des objets convient aux peuples sauvages ; les signes des mots et des propositions aux peuples barbares ; et l'alphabet aux peuples policés.

Cited in De la grammatologie p.11

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Epigraph

L'écriture cunéiforme et la civilisation mésopotamienne in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque

René Labat

p. 87

Celui qui brillera dans la science de l'écriture brillera comme le soleil. Un scribe (EP, p. 87).

Cited in De la grammatologie p.11

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Epigraph

L'écriture cunéiforme et la civilisation mésopotamienne in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque

René Labat

p. 87

O Samas (dieu du soleil), tu scrutes de ta lumière la totalité des pays comme si c'était des signes cunéiformes (ibid.).

Cited in De la grammatologie p.11

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Epigraph

Encyclopédie

Georg Wilhelm Friedrich Hegel

1952

p. 256

L'écriture alphabétique est en soi et pour soi la plus intelligente.

Cited in De la grammatologie p.11

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Footnote

La Chine. Aspects et fonctions de l'écriture in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque

Jacques Gernet

p. 44

Tous les ouvrages consacrés à l'histoire de l'écriture font une place au problème de l'introduction de l'écriture phonétique dans des cultures qui jusqu'ici ne la pratiquaient pas. Cf. par ex. EP, p. 44 sq. ou La réforme de l'écriture chinoise, in Linguistique, Recherches internationales à la lumière du marxisme, n° 7, mai-juin 1958.

Cited in De la grammatologie p.12

Footnote

Le discours et le symbole

Edmond Ortigues

1962

p. 171

Cf. par exemple, les notions d'« élaboration secondaire » ou de « symbolisme de seconde intention » in E. Ortigues, Le discours et le symbole, pp. 62 et 171. « Le symbolisme mathématique est une convention d'écriture, un symbolisme scriptural. C'est seulement par un abus de vocabulaire ou par analogie que l'on parle d'un "langage mathématique". L'algorithme est en réalité une "caractéristique", il consiste en caractères écrits. Il ne parle pas, sinon par l'intermédiaire d'une langue qui fournit non seulement l'expression phonétique des caractères, mais aussi la formulation des axiomes permettant de déterminer la valeur de ces caractères. Il est vrai qu'à la rigueur on pourrait déchiffrer des caractères inconnus, mais cela suppose toujours un savoir acquis, une pensée déjà formée par l'usage de la parole. Donc, en toutes hypothèses, le symbolisme mathématique est le fruit d'une élaboration secondaire, supposant au préalable l'usage d'un discours et la possibilité de concevoir des conventions explicites. Il n'en reste pas moins que l'algorithme mathématique exprimera des lois formelles de symbolisation, des structures syntaxiques, indépendantes de tel ou tel moyen d'expression particulier. » Sur ces problèmes, cf. aussi G.-G. Granger, Pensée formelle et sciences de l'homme, p. 38 sq. et notamment pp. 43 et 50 sq. (sur le Renversement des rapports de la langue orale et de l'écriture).

Cited in De la grammatologie p.12

Citation

Le discours et le symbole

Edmond Ortigues

1962

p. 62

Cf. par exemple, les notions d'« élaboration secondaire » ou de « symbolisme de seconde intention » in E. Ortigues, Le discours et le symbole, pp. 62 et 171. « Le symbolisme mathématique est une convention d'écriture, un symbolisme scriptural. C'est seulement par un abus de vocabulaire ou par analogie que l'on parle d'un "langage mathématique". L'algorithme est en réalité une "caractéristique", il consiste en caractères écrits. Il ne parle pas, sinon par l'intermédiaire d'une langue qui fournit non seulement l'expression phonétique des caractères, mais aussi la formulation des axiomes permettant de déterminer la valeur de ces caractères. Il est vrai qu'à la rigueur on pourrait déchiffrer des caractères inconnus, mais cela suppose toujours un savoir acquis, une pensée déjà formée par l'usage de la parole. Donc, en toutes hypothèses, le symbolisme mathématique est le fruit d'une élaboration secondaire, supposant au préalable l'usage d'un discours et la possibilité de concevoir des conventions explicites. Il n'en reste pas moins que l'algorithme mathématique exprimera des lois formelles de symbolisation, des structures syntaxiques, indépendantes de tel ou tel moyen d'expression particulier. » Sur ces problèmes, cf. aussi G.-G. Granger, Pensée formelle et sciences de l'homme, p. 38 sq. et notamment pp. 43 et 50 sq. (sur le Renversement des rapports de la langue orale et de l'écriture).

Cited in De la grammatologie p.12

Footnote

La réforme de l'écriture chinoise

Yu-Tchang Wou

1958

Tous les ouvrages consacrés à l'histoire de l'écriture font une place au problème de l'introduction de l'écriture phonétique dans des cultures qui jusqu'ici ne la pratiquaient pas. Cf. par ex. EP, p. 44 sq. ou La réforme de l'écriture chinoise, in Linguistique, Recherches internationales à la lumière du marxisme, n° 7, mai-juin 1958.

Cited in De la grammatologie p.12

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Citation

Pensée formelle et sciences de l'homme

Gilles-Gaston Granger

1960

p. 38

« Le symbolisme mathématique est une convention d'écriture, un symbolisme scriptural. C'est seulement par un abus de vocabulaire ou par analogie que l'on parle d'un "langage mathématique". L'algorithme est en réalité une "caractéristique", il consiste en caractères écrits. Il ne parle pas, sinon par l'intermédiaire d'une langue qui fournit non seulement l'expression phonétique des caractères, mais aussi la formulation des axiomes permettant de déterminer la valeur de ces caractères. Il est vrai qu'à la rigueur on pourrait déchiffrer des caractères inconnus, mais cela suppose toujours un savoir acquis, une pensée déjà formée par l'usage de la parole. Donc, en toutes hypothèses, le symbolisme mathématique est le fruit d'une élaboration secondaire, supposant au préalable l'usage d'un discours et la possibilité de concevoir des conventions explicites. Il n'en reste pas moins que l'algorithme mathématique exprimera des lois formelles de symbolisation, des structures syntaxiques, indépendantes de tel ou tel moyen d'expression particulier. » Sur ces problèmes, cf. aussi G.-G. Granger, Pensée formelle et sciences de l'homme, p. 38 sq. et notamment pp. 43 et 50 sq. (sur le Renversement des rapports de la langue orale et de l'écriture).

Cited in De la grammatologie p.12

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Citation

Pensée formelle et sciences de l'homme

Gilles-Gaston Granger

1960

p. 43

« Le symbolisme mathématique est une convention d'écriture, un symbolisme scriptural. C'est seulement par un abus de vocabulaire ou par analogie que l'on parle d'un "langage mathématique". L'algorithme est en réalité une "caractéristique", il consiste en caractères écrits. Il ne parle pas, sinon par l'intermédiaire d'une langue qui fournit non seulement l'expression phonétique des caractères, mais aussi la formulation des axiomes permettant de déterminer la valeur de ces caractères. Il est vrai qu'à la rigueur on pourrait déchiffrer des caractères inconnus, mais cela suppose toujours un savoir acquis, une pensée déjà formée par l'usage de la parole. Donc, en toutes hypothèses, le symbolisme mathématique est le fruit d'une élaboration secondaire, supposant au préalable l'usage d'un discours et la possibilité de concevoir des conventions explicites. Il n'en reste pas moins que l'algorithme mathématique exprimera des lois formelles de symbolisation, des structures syntaxiques, indépendantes de tel ou tel moyen d'expression particulier. » Sur ces problèmes, cf. aussi G.-G. Granger, Pensée formelle et sciences de l'homme, p. 38 sq. et notamment pp. 43 et 50 sq. (sur le Renversement des rapports de la langue orale et de l'écriture).

Cited in De la grammatologie p.12

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Citation

Pensée formelle et sciences de l'homme

Gilles-Gaston Granger

1960

p. 50

« Le symbolisme mathématique est une convention d'écriture, un symbolisme scriptural. C'est seulement par un abus de vocabulaire ou par analogie que l'on parle d'un "langage mathématique". L'algorithme est en réalité une "caractéristique", il consiste en caractères écrits. Il ne parle pas, sinon par l'intermédiaire d'une langue qui fournit non seulement l'expression phonétique des caractères, mais aussi la formulation des axiomes permettant de déterminer la valeur de ces caractères. Il est vrai qu'à la rigueur on pourrait déchiffrer des caractères inconnus, mais cela suppose toujours un savoir acquis, une pensée déjà formée par l'usage de la parole. Donc, en toutes hypothèses, le symbolisme mathématique est le fruit d'une élaboration secondaire, supposant au préalable l'usage d'un discours et la possibilité de concevoir des conventions explicites. Il n'en reste pas moins que l'algorithme mathématique exprimera des lois formelles de symbolisation, des structures syntaxiques, indépendantes de tel ou tel moyen d'expression particulier. » Sur ces problèmes, cf. aussi G.-G. Granger, Pensée formelle et sciences de l'homme, p. 38 sq. et notamment pp. 43 et 50 sq. (sur le Renversement des rapports de la langue orale et de l'écriture).

Cited in De la grammatologie p.12

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Dictionnaire de la langue française. Tome 4

Émile Littré

1960

Grammatologie : « Traité des lettres, de l'alphabet, de la syllabation, de la lecture et de l'écriture », Littré. À notre connaissance, ce mot n'a été utilisé, de nos jours, pour désigner le projet d'une science moderne, que par I. J. Gelb. Cf. A study of writing the foundations of grammatology, 1952 (le sous-titre disparaît dans la réédition de 1963). Malgré un souci de classification systématique ou simplifiée et malgré des hypothèses controversées sur la monogénèse ou la polygénèse des écritures, ce livre répond au modèle des histoires classiques de l'écriture.

Cited in De la grammatologie p.13