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doi:10.34770/yw3y-ze12
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-381 1967
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1944 1991

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Émile ou de l'éducation

Jean-Jacques Rousseau

1966

« Quand on veut renvoyer au pays des chimères, on nomme l'institution de Platon : si Lycurgue n'eût mis la sienne que par écrit, je la trouverais bien plus chimérique. » (Emile p. 10).

Cited in De la grammatologie p.401

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Projet de Constitution pour la Corse in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. III

Jean-Jacques Rousseau

p. 948

« Je ne sais comment cela se fait, mais je sais bien que les opérations dont l'on tient le plus de registres et de livres de comptes sont précisément celles où l'on friponne le plus. »

Cited in De la grammatologie p.401

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Citation

Du Contrat Social in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. III

Jean-Jacques Rousseau

p. 369

Il est donc absolument nécessaire que la volonté générale s'exprime par des voix sans procuration. Elle « fait loi » lorsqu'elle se déclare dans la voix du « corps du peuple » où elle est indivisible ; autrement elle se divise en volontés particulières, en actes de magistrature, en décrets (p. 369).

Cited in De la grammatologie p.402

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Footnote

Du Contrat Social in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. III

Jean-Jacques Rousseau

p. 426

C'est pourquoi Rousseau admet la nécessité des représentants tout en la déplorant. Voir les Considérations sur le Gouvernement de Pologne : il y propose un renouvellement très rapide des représentants pour rendre leur « séduction plus coûteuse et plus difficile », ce qui est à rapprocher de la règle formulée par le Contrat, selon laquelle « le Souverain doit se montrer fréquemment » (p. 426) ; cf. aussi Derathé, Rousseau et la science politique de son temps (p. 277 sq).

Cited in De la grammatologie p.402

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Du Contrat Social in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. III

Jean-Jacques Rousseau

p. 431

et selon laquelle, au terme de son mouvement, la convention rejoint la nature, l'asservissement la liberté, etc. ( « Quoi ! La liberté ne se maintient qu'à l'appui de la servitude ? Peut-être. Les deux excès se touchent. » Contrat social, p. 431.)

Cited in De la grammatologie p.402

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Discours sur l'économie politique in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I

Jean-Jacques Rousseau

p. 250

C'est ainsi que le Discours sur l'économie politique, définit « la volonté générale, source et supplément de toutes les lois, et qui doit toujours être consultée à leur défaut » (p. 250. Nous soulignons).

Cited in De la grammatologie p.402

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Fragments Politiques in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I

Jean-Jacques Rousseau

p. 478

« Le temps des plus honteux dérèglements et des plus grandes misères de l'homme fut celui où de nouvelles passions ayant étouffé les sentiments naturels, l'entendement humain n'avait pas fait encore assez de progrès pour suppléer par les maximes de la sagesse aux mouvements de la nature. »

Cited in De la grammatologie p.402

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Footnote

Fragments Politiques in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I

Jean-Jacques Rousseau

p. 479

A quelle logique Rousseau obéit-il en justifiant ainsi la nécessité d'une représentation qu'il condamne simultanément ? A la logique, précisément, de la représentation ; à mesure qu'elle aggrave son mal, qu'elle devient plus représentative, la représentation restitue ce qu'elle dérobe : la présence du représenté. Logique selon laquelle il faut s'efforcer de « tirer du mal même le remède qui doit le guérir » (Fragment sur L'état de nature p. 479)

Cited in De la grammatologie p.402

Footnote

Considérations sur le Gouvernement de Pologne in Du Contrat Social

Jean-Jacques Rousseau

p. 979

C'est pourquoi Rousseau admet la nécessité des représentants tout en la déplorant. Voir les Considérations sur le Gouvernement de Pologne : il y propose un renouvellement très rapide des représentants pour rendre leur « séduction plus coûteuse et plus difficile », ce qui est à rapprocher de la règle formulée par le Contrat, selon laquelle « le Souverain doit se montrer fréquemment » (p. 426) ; cf. aussi Derathé, Rousseau et la science politique de son temps (p. 277 sq).

Cited in De la grammatologie p.402

Footnote

Rousseau et la science politique de son temps

Robert Derathé

1950

p. 277

C'est pourquoi Rousseau admet la nécessité des représentants tout en la déplorant. Voir les Considérations sur le Gouvernement de Pologne : il y propose un renouvellement très rapide des représentants pour rendre leur « séduction plus coûteuse et plus difficile », ce qui est à rapprocher de la règle formulée par le Contrat, selon laquelle « le Souverain doit se montrer fréquemment » (p. 426) ; cf. aussi Derathé, Rousseau et la science politique de son temps (p. 277 sq).

Cited in De la grammatologie p.402

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Quotation

Discours sur l'économie politique in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I

Jean-Jacques Rousseau

p. 248

La volonté générale, cette « voix céleste » (Discours sur l'économie politique, p. 248) est donc le supplément de la nature.

Cited in De la grammatologie p.403

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Discours sur l'économie politique in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I

Jean-Jacques Rousseau

p. 253

C'est alors une mauvaise nature, « c'est alors qu'à la voix du devoir qui ne parle plus dans les cœurs, les chefs sont forcés de substituer le cri de la terreur ou le leurre d'un intérêt apparent » (p. 253. Nous soulignons).

Cited in De la grammatologie p.403

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Émile ou de l'éducation

Jean-Jacques Rousseau

1966

L'abîme, c'est le creux qui peut rester ouvert entre la défaillance de la nature et le retard du supplément : « Le temps des plus honteux dérèglements et des plus grandes misères de l'homme fut celui où de nouvelles passions ayant étouffé les sentiments naturels, l'entendement humain n'avait pas fait encore assez de progrès pour suppléer par les maximes de la sagesse aux mouvements de la nature. »

Cited in De la grammatologie p.403

Quotation

Essai sur l'origine des langues

Jean-Jacques Rousseau

1817

« La troisième [manière d'écrire] est de décomposer la voix parlante à un certain nombre de parties élémentaires, soit vocales, soit articulées [voyelles ou consonnes], avec lesquelles on puisse former tous les mots et toutes les syllabes imaginables. Cette manière d'écrire, qui est la nôtre, a dû être imaginée par des peuples commerçants, qui, voyageant en plusieurs pays et ayant à parler plusieurs langues, furent forcés d'inventer des caractères qui pussent être communs à toutes. Ce n'est pas précisément peindre la parole, c'est l'analyser. »

Cited in De la grammatologie p.404

Footnote

Grammaire générale et raisonnée de Port-Royal par Arnaud et Lancelot ; Précédée d'un Essai sur l'origine et les progrès de la Langue française, par M. Petitot ; suivie du Commentaire de M. Duclos

Antoine Arnauld; Charles Pinot Duclos; Claude Lancelot; Claude-Bernard Petitot

1803

pp. 421-423

Cited in De la grammatologie p.404

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Scienza Nuova in Oeuvres choisies de Vico

Giambattista Vico

p. 87

Sur le rebus, cf. supra, p. 136. Vico, qui distingue aussi trois états ou étapes de l'écriture, donne pour exemple, parmi d'autres, de la première écriture (idéographique ou hiéroglyphique, « née spontanément » et qui « ne tire nullement son origine de conventions ») le « rebus de Picardie ». « La seconde forme d'écriture est également toute spontanée : c'est l'écriture symbolique ou par emblèmes héroïques » (armoiries, blasons, « ressemblances muettes qu'Homère appelle σηματα, signes dont se servent, pour écrire, les héros »). « Troisième forme d'écriture : l'écriture alphabétique. » (Science nouvelle, 3, 1, pp. 61-62, 181-182, 194, trad. Chaix-Ruy.)

Cited in De la grammatologie p.404