Le geste et la parole
1965
p. II, 67
« L'apparition de l'écriture n'est pas fortuite ; après des millénaires de mûrissement dans les systèmes de représentation mythographique émerge, avec le métal et l'esclavage, la notation linéaire de la pensée (voir chapitre VI). Son contenu n'est pas fortuit. » (II, p. 67, cf. aussi pp. 161-162.)
Cited in De la grammatologie p.124
Le geste et la parole
1965
p. 161
« L'apparition de l'écriture n'est pas fortuite ; après des millénaires de mûrissement dans les systèmes de représentation mythographique émerge, avec le métal et l'esclavage, la notation linéaire de la pensée (voir chapitre VI). Son contenu n'est pas fortuit. » (II, p. 67, cf. aussi pp. 161-162.)
Cited in De la grammatologie p.124
Le geste et la parole
1965
p. II, 261
L'écriture linéaire a donc bien « constitué, pendant plusieurs millénaires, indépendamment de son rôle de conservateur de la mémoire collective, par son déroulement à une seule dimension, l'instrument d'analyse d'où est sortie la pensée philosophique et scientifique. La conservation de la pensée peut maintenant être conçue autrement que dans les livres qui ne gardent encore que pour peu de temps l'avantage de leur maniabilité rapide. Une vaste « magnétothèque » à sélection électronique livrera dans un futur proche l'information présélectionnée et restituée instantanément. La lecture gardera pendant des siècles encore son importance, malgré une sensible régression pour la majorité des hommes, mais l'écriture [entendons-la au sens d'inscription linéaire] est vraisemblablement appelée à disparaître rapidement, remplacée par des appareils dictaphones à impression automatique. Doit-on voir en cela une sorte de restitution de l'état antérieur à l'inféodation phonétique de la main ? Je penserais plutôt qu'il s'agit là d'un aspect du phénomène général de régression manuelle (v. p. 60) et d'une nouvelle « libération ». Quant aux conséquences à longue échéance sur les formes du raisonnement, sur un retour à la pensée diffuse et multidimensionnelle, elles sont imprévisibles au point actuel. La pensée scientifique est plutôt gênée par la nécessité de s'étirer dans la filière typographique et il est certain que si quelque procédé permettait de présenter les livres de telle sorte que la matière des différents chapitres s'offre simultanément sous toutes ses incidences, les auteurs et leurs usagers y trouveraient un avantage considérable. Il est certain toutefois que si le raisonnement scientifique n'a sans doute rien à perdre avec la disparition de l'écriture, la philosophie, la littérature verront sans doute leurs formes évoluer. Cela n'est pas particulièrement regrettable puisque l'imprimé conservera les formes de penser curieusement archaïques dont les hommes auront usé pendant la période du graphisme alphabétique ; quant aux formes nouvelles elles seront aux anciennes comme l'acier au silex, non pas un instrument plus tranchant sans doute, mais un instrument plus maniable. L'écriture passera dans l'infrastructure sans altérer le fonctionnement de l'intelligence, comme une transition qui aura eu quelques millénaires de primauté. » (GP, II, pp. 261-262. Cf. aussi EP, Conclusions.)
Cited in De la grammatologie p.124
L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque
1963
pp. 335-359
L'écriture linéaire a donc bien « constitué, pendant plusieurs millénaires, indépendamment de son rôle de conservateur de la mémoire collective, par son déroulement à une seule dimension, l'instrument d'analyse d'où est sortie la pensée philosophique et scientifique. La conservation de la pensée peut maintenant être conçue autrement que dans les livres qui ne gardent encore que pour peu de temps l'avantage de leur maniabilité rapide. Une vaste « magnétothèque » à sélection électronique livrera dans un futur proche l'information présélectionnée et restituée instantanément. La lecture gardera pendant des siècles encore son importance, malgré une sensible régression pour la majorité des hommes, mais l'écriture [entendons-la au sens d'inscription linéaire] est vraisemblablement appelée à disparaître rapidement, remplacée par des appareils dictaphones à impression automatique. Doit-on voir en cela une sorte de restitution de l'état antérieur à l'inféodation phonétique de la main ? Je penserais plutôt qu'il s'agit là d'un aspect du phénomène général de régression manuelle (v. p. 60) et d'une nouvelle « libération ». Quant aux conséquences à longue échéance sur les formes du raisonnement, sur un retour à la pensée diffuse et multidimensionnelle, elles sont imprévisibles au point actuel. La pensée scientifique est plutôt gênée par la nécessité de s'étirer dans la filière typographique et il est certain que si quelque procédé permettait de présenter les livres de telle sorte que la matière des différents chapitres s'offre simultanément sous toutes ses incidences, les auteurs et leurs usagers y trouveraient un avantage considérable. Il est certain toutefois que si le raisonnement scientifique n'a sans doute rien à perdre avec la disparition de l'écriture, la philosophie, la littérature verront sans doute leurs formes évoluer. Cela n'est pas particulièrement regrettable puisque l'imprimé conservera les formes de penser curieusement archaïques dont les hommes auront usé pendant la période du graphisme alphabétique ; quant aux formes nouvelles elles seront aux anciennes comme l'acier au silex, non pas un instrument plus tranchant sans doute, mais un instrument plus maniable. L'écriture passera dans l'infrastructure sans altérer le fonctionnement de l'intelligence, comme une transition qui aura eu quelques millénaires de primauté. » (GP, II, pp. 261-262. Cf. aussi EP, Conclusions.)
Cited in De la grammatologie p.125
L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque
1963
p. 342
La XXIIe Semaine de synthèse, colloque dont le contenu a été recueilli dans L'écriture et la psychologie des peuples, fut placée sous le signe de cette remarque de Marcel Cohen (La grande invention de l'écriture et son évolution). Mais à chaque instant les riches communications proposées au cours de colloque pointent au-delà du propos graphologique. M. Cohen reconnaît lui-même la difficulté et le caractère prématuré d'une telle tâche : « Evidemment, nous ne pouvons pas entier dans la voie de la graphologie des peuples : ce serait trop délicat, trop difficile. Mais nous pouvons émettre cette idée que ce n'est pas uniquement par des raisons techniques qu'il y a des différences, il peut y avoir autre chose... » (p. 342.)
Cited in De la grammatologie p.126
Essais de psychanalyse
1967
p. 98
Texte de 1923, recueilli dans les Essais de psychanalyse, tr. fr. p. 95 sq. Nous en détachons quelques lignes : « Quand Fritz écrivait, les lignes représentaient pour lui des routes et les lettres roulaient dessus, montées sur des motocyclettes, c'est-à-dire sur le porte-plume. Par exemple, le « i » et le « e » roulaient ensemble sur une motocyclette habituellement conduite par le « i », et ils s'aimaient avec une tendresse tout à fait inconnue dans le monde réel. Comme ils roulaient toujours ensemble, ils étaient devenus si semblables qu'il n'y avait presque aucune différence entre eux, car le début et la fin du « i » et du « e » étaient pareils (il parlait des minuscules de l'alphabet latin), et c'est seulement au milieu que le « i » avait un petit trait et le « e » un petit trou. En ce qui concerne les lettres « i » et « e » de l'alphabet gothique, il expliqua qu'elles roulaient elles aussi sur une motocyclette ; ce qui les distinguait des lettres latines, c'était quelque chose comme une autre marque de motocyclette, et le fait que le « e » avait une petite boîte à la place du trou du « e » latin. Les « i » étaient adroits, intelligents et pleins de distinction, ils possédaient beaucoup d'armes pointues et ils vivaient dans des grottes, entre lesquelles, cependant, il y avait aussi des montagnes, des jardins et des portes. Ils représentaient le pénis, et leur chemin représentait le coït. D'autre part, les « l » furent décrits comme stupides, maladroits, paresseux et sales. Ils vivaient dans des grottes sous la terre. Dans la ville des « l », la poussière et les papiers s'amassaient dans les rues ; dans leurs petites maisons « dégoûtantes », ils mélangeaient avec de l'eau une teinture achetée au pays des « i » ; ils buvaient ce mélange et ils le vendaient sous le nom de vin. Ils avaient du mal à marcher et ils ne pouvaient pas creuser la terre parce qu'ils tenaient la bêche à l'envers, la tête en bas, etc. Il apparut à l'évidence que le « l » représentait les fèces. De nombreux fantasmes concernaient également les autres lettres. Ainsi, à la place du double « s », il n'en écrivait jamais qu'un seul, jusqu'à ce qu'un fantasme permît d'expliquer et d'écarter cette inhibition. Le « s » était lui-même, l'autre était son père. Ils devaient s'embarquer ensemble sur un bateau à moteur, car la plume était aussi un bateau, et le cahier un lac. Le « s » qui était lui-même monta dans le bateau qui appartenait à l'autre « s » et partit rapidement sur le lac. Voilà pourquoi il n'écrivait pas les deux « s » ensemble. L'usage fréquent qu'il faisait du « s » simple à la place du « s » long était dû au fait suivant : une partie du « s » long était ainsi omise, et c'était pour lui « comme si on enlevait son nez à une personne ». Cette faute était donc provoquée par le désir de châtrer le père ; elle disparut à la suite de cette interprétation. » Nous ne pouvons citer ici tous les exemples analogues que M. Klein analyse. Lisons encore ce passage de valeur plus générale : « Pour Ernst comme pour Fritz, je pus observer que leur inhibition à l'égard de l'écriture et de la lecture, bases de toute l'activité scolaire ultérieure, provenait de la lettre « i » qui, avec son mouvement simple de « montée » et de « redescente », constitue en fait le fondement de toute l'écriture (note : Au cours d'une réunion de la Société de Psychanalyse de Berlin, Herr Rohr avait examiné quelques détails de l'écriture chinoise et de son interprétation psychanalytique. Dans la discussion qui suivit, j'indiquai que l'écriture pictographique ancienne, fondement de notre écriture, est encore vivante dans les fantasmes de chaque enfant en particulier, de telle sorte que les divers traits, points, etc. de notre écriture actuelle ne seraient que des simplifications résultant de condensations, de déplacements et de mécanismes avec lesquels les, rêves et les névroses nous ont familiarisés, — des simplifications de pictogrammes anciens dont il resterait cependant des traces chez l'individu). La signification symbolique sexuelle du porte-plume apparaît dans ces exemples... On peut observer que le sens symbolique sexuel du porte-plume se répand dans l'acte d'écrire en s'y déchargeant. De la même manière, la signification libidinale de la lecture provient de l'investissement symbolique du livre et de l'oeil. D'autres éléments fournis par les composantes pulsionnelles sont également à l'œuvre ici, bien entendu : le fait de « regarder par une ouverture » dans la lecture, les tendances exhibitionnistes, agressives et sadiques dans l'écriture ; à l'origine de la signification sexuelle symbolique du porte-plume, il y a probablement celle de l'arme et de la main. Disons encore que l'activité de la lecture est plus passive, celle de l'écriture, plus active, et que les diverses fixations aux stades d'organisation pré-génitaux ont un rôle important dans les inhibitions qui frappent l'une ou l'autre. » (tr. fr. p. 98). Cf. aussi Ajuriaguerra, Coumes, Denner, Lavonde-Monod, Perron, Stambak, L'écriture de l'enfant, 1964.
Cited in De la grammatologie p.128
L'écriture de l'enfant
1964
Cf. aussi Ajuriaguerra, Coumes, Denner, Lavonde-Monod, Perron, Stambak, L'écriture de l'enfant, 1964.
Cited in De la grammatologie p.129
Les Primitifs. Signaux et symboles in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque
pp. 10-11
A. Métraux, Les primitifs, signaux et symboles, pictogrammes et protoécriture. Un exemple, parmi tant d'autres, de ce que Métraux appelle « ébauche de phonétisme » : « Ainsi, le chef Cheyenne qui s'appelle « tortue-suivant-sa-femelle » sera représenté par un personnage surmonté de deux tortues. « Petit-homme » sera identifié à une silhouette d'enfant dessinée au-dessus de sa tête. Cette expression des noms propres ne pose guère de difficultés lorsqu'il s'agit de choses concrètes, mais elle met à dure épreuve l'imagination du scribe s'il lui faut rendre par la pictographie des idées abstraites. Pour transcrire le nom d'un individu appelé « grande-route », un indien Oglagla a eu recours à la combinaison symbolique suivante : des traits parallèles avec des traces de pas font songer à la « route », un oiseau peint près de celle-ci évoque la rapidité qui est, évidemment, un des attributs des « bonnes routes ». Il est clair que seuls ceux qui connaissent déjà les noms correspondant à ces symboles sont à même de les déchiffrer. A ce titre, ces dessins auront donc une valeur mnémotechnique. Prenons, comme autre exemple, le nom propre « Bonne-belette ». De la bouche de l'animal, dessiné de façon réaliste, sortent deux traits ondulés qui d'ordinaire symbolisent le flot des paroles. Ce signe étant utilisé pour les « bons discours », on suppose que le lecteur ne retiendra que l'adjectif et oubliera l'idée de discours », EP, pp. 10-11.
Cited in De la grammatologie p.130
Les Primitifs. Signaux et symboles in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque
p. 16
EP, p. 16. A Métraux y résume schématiquement les résultats des Grundlagen zur Entzifferung der Osterinselschrift de Barthel.
Cited in De la grammatologie p.132
La pensée chinoise
1950
p. (I)
Cf. aussi M. Granet, La pensée chinoise, 1950, ch. I.
Cited in De la grammatologie p.133
L'Écriture chinoise considérée comme art poétique
1937
p. 135
Questionnant tout à tour les structures logico-grammaticales de l'Occident (et d'abord la liste des catégories d'Aristote), montrant qu'aucune description correcte de l'écriture chinoise ne peut les tolérer, Fenollosa rappelait que la poésie chinoise était essentiellement une écriture. Il notait par exemple : « Si nous désirons entreprendre l'étude précise de la poésie chinoise, il nous faudra… nous garer de la grammaire occidentale, de ses strictes catégories de langage, de sa complaisance envers les noms et les adjectifs. Il nous faudra chercher, ou du moins avoir toujours à l'esprit, les résonances du verbe dans chaque nom. Nous éviterons le "est" pour introduire un trésor de verbes dédaignés. La plupart des traductions transgressent toutes ces règles. Le développement de la phrase transitive normale s'appuie sur le fait que dans la nature une action en détermine une autre ; ainsi la cause et l'objet sont en réalité des verbes. Par exemple, notre phrase "la lecture détermine l'écriture" serait explicitement exprimée en chinois par trois verbes. Une telle forme est l'équivalent de trois propositions développées et qui peuvent être présentées en locutions adjectives, participales, infinitives ou conditionnelles. Un exemple parmi d'autres : "Si quelqu'un lit, cela lui apprend à écrire." Un autre : "Celui qui lit, devient celui qui écrit." Mais dans la première forme condensée, un Chinois écrirait : "Lire détermine écrire." » L'écriture chinoise considérée comme art poétique, tr. fr. in Mesures, oct. 1937, N° 4, p. 135.
Cited in De la grammatologie p.134
L'Asie Mineure. Les Hittites, peuple à double écriture in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque
pp. 105-111
Nous ne pouvons naturellement songer à décrire ici la masse infinie du contenu factuel que nous intitulons dans ce paragraphe. À titre indicatif et préliminaire, nous renvoyons aux travaux suivants qui comportent tous une importante bibliographie : J. Février, M. Granet, M. Cohen, M. V.-David, op. cit. Cf. aussi A. Métraux, art. cité, EP, p. 19 (voir l'intervention de G. Dieterlen, p. 19 et de M. Cohen, p. 27) ; J. Gernet, art. cité, pp. 29, 33, 37, 38, 39, 43 ; J. Sainte Fare Garnot, Les hiéroglyphes, l'évolution des écritures égyptiennes, EP, pp. 57, 68, 70 ; R. Labat, art. cité, pp. 77, 78, 82, 83 ; O. Masson, La civilisation égéenne, Les écritures crétoises et mycéniennes, EP, p. 99. E. Laroche, L'Asie mineure, les Hittites, peuple à double écriture, EP, pp. 105-111, 113. M. Rodinson, Les sémites et l'alphabet, Les écritures sud-arabiques et éthiopiennes, EP, pp. 136 à 145. J. Filliozat, Les écritures indiennes. Le monde indien et son système graphique, EP. p. 148. H. Lévy-Bruhl, L'écriture et le droit, EP, pp. 325-333. Voir aussi EP, Confrontations et conclusions*, p. 335 sq.
Cited in De la grammatologie p.136
L'Asie Mineure. Les Hittites, peuple à double écriture in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque
p. 113
Nous ne pouvons naturellement songer à décrire ici la masse infinie du contenu factuel que nous intitulons dans ce paragraphe. À titre indicatif et préliminaire, nous renvoyons aux travaux suivants qui comportent tous une importante bibliographie : J. Février, M. Granet, M. Cohen, M. V.-David, op. cit. Cf. aussi A. Métraux, art. cité, EP, p. 19 (voir l'intervention de G. Dieterlen, p. 19 et de M. Cohen, p. 27) ; J. Gernet, art. cité, pp. 29, 33, 37, 38, 39, 43 ; J. Sainte Fare Garnot, Les hiéroglyphes, l'évolution des écritures égyptiennes, EP, pp. 57, 68, 70 ; R. Labat, art. cité, pp. 77, 78, 82, 83 ; O. Masson, La civilisation égéenne, Les écritures crétoises et mycéniennes, EP, p. 99. E. Laroche, L'Asie mineure, les Hittites, peuple à double écriture, EP, pp. 105-111, 113. M. Rodinson, Les sémites et l'alphabet, Les écritures sud-arabiques et éthiopiennes, EP, pp. 136 à 145. J. Filliozat, Les écritures indiennes. Le monde indien et son système graphique, EP. p. 148. H. Lévy-Bruhl, L'écriture et le droit, EP, pp. 325-333. Voir aussi EP, Confrontations et conclusions*, p. 335 sq.
Cited in De la grammatologie p.136
Les Sémites et l'alphabet. Écritures concrètes et écritures abstraites in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque
pp. 136-145
Nous ne pouvons naturellement songer à décrire ici la masse infinie du contenu factuel que nous intitulons dans ce paragraphe. À titre indicatif et préliminaire, nous renvoyons aux travaux suivants qui comportent tous une importante bibliographie : J. Février, M. Granet, M. Cohen, M. V.-David, op. cit. Cf. aussi A. Métraux, art. cité, EP, p. 19 (voir l'intervention de G. Dieterlen, p. 19 et de M. Cohen, p. 27) ; J. Gernet, art. cité, pp. 29, 33, 37, 38, 39, 43 ; J. Sainte Fare Garnot, Les hiéroglyphes, l'évolution des écritures égyptiennes, EP, pp. 57, 68, 70 ; R. Labat, art. cité, pp. 77, 78, 82, 83 ; O. Masson, La civilisation égéenne, Les écritures crétoises et mycéniennes, EP, p. 99. E. Laroche, L'Asie mineure, les Hittites, peuple à double écriture, EP, pp. 105-111, 113. M. Rodinson, Les sémites et l'alphabet, Les écritures sud-arabiques et éthiopiennes, EP, pp. 136 à 145. J. Filliozat, Les écritures indiennes. Le monde indien et son système graphique, EP. p. 148. H. Lévy-Bruhl, L'écriture et le droit, EP, pp. 325-333. Voir aussi EP, Confrontations et conclusions*, p. 335 sq.
Cited in De la grammatologie p.136
Les écritures indiennes. Le monde indien et son système graphique. in L'Ecriture et la psychologie des peuples: actes de colloque
p. 148
Nous ne pouvons naturellement songer à décrire ici la masse infinie du contenu factuel que nous intitulons dans ce paragraphe. À titre indicatif et préliminaire, nous renvoyons aux travaux suivants qui comportent tous une importante bibliographie : J. Février, M. Granet, M. Cohen, M. V.-David, op. cit. Cf. aussi A. Métraux, art. cité, EP, p. 19 (voir l'intervention de G. Dieterlen, p. 19 et de M. Cohen, p. 27) ; J. Gernet, art. cité, pp. 29, 33, 37, 38, 39, 43 ; J. Sainte Fare Garnot, Les hiéroglyphes, l'évolution des écritures égyptiennes, EP, pp. 57, 68, 70 ; R. Labat, art. cité, pp. 77, 78, 82, 83 ; O. Masson, La civilisation égéenne, Les écritures crétoises et mycéniennes, EP, p. 99. E. Laroche, L'Asie mineure, les Hittites, peuple à double écriture, EP, pp. 105-111, 113. M. Rodinson, Les sémites et l'alphabet, Les écritures sud-arabiques et éthiopiennes, EP, pp. 136 à 145. J. Filliozat, Les écritures indiennes. Le monde indien et son système graphique, EP. p. 148. H. Lévy-Bruhl, L'écriture et le droit, EP, pp. 325-333. Voir aussi EP, Confrontations et conclusions*, p. 335 sq.
Cited in De la grammatologie p.136