Enzyklopädie der philosophischen Wissenschaften im Grundrisse
1952
Cited in De la grammatologie
p.38 p.39 p.39 p.39Overview Images
Annotated pages
p.255 p.256 p.257Insertions
pp. 102-103 Insertion A recto pp. 102-103 Insertion A verso pp. 180-181 Insertion A recto pp. 180-181 Insertion A verso pp. 214-215 Insertion A recto pp. 214-215 Insertion A verso pp. 214-215 Insertion B recto pp. 214-215 Insertion B verso pp.296-297 Insertion A recto pp.296-297 Insertion A versoAnchor text:
Il s'ensuit qu'apprendre à lire et à écrire une écriture alphabétique doit être regardé comme un moyen de culture infini, que l'on n'apprécie pas assez; parce qu'ainsi l'esprit s'éloignant du concret sensible, dirige son attention sur le moment plus formel, le mot sonore et ses éléments abstraits, et contribue essentiellement à fonder dans le sujet le terrain propre à l'intériorité et à le purifier. - L'habitude acquise écarte aussi plus tard ce qu'a de particulier l'écriture alphabétique, à savoir, de paraître, dans l'intérêt de la vue, un détour par l'ouïe pour parvenir aux représentations, et en fait pour nous une écriture hiéroglyphique, en sorte qu'en en usant, nous n'avons pas besoin d'avoir présent dans la conscience l'intermédiaire des sons;
Annotation:
cf. l. φ de l'H … ?
Anchor text:
Grâce à cette facilité qui transforme en hiéroglyphes cette écriture alphabétique, se conserve l'aptitude à l'abstraction acquise par ce premier exercice et, en outre, la lecture des hiéroglyphes est en soi une lecture sourde et une écriture muette;