Confessions in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I
p. 444
L'intention et la lettre de ce passage sont à rapprocher d'une autre page des Confessions (p. 444. Cf. aussi la note des éditeurs).
Cited in De la grammatologie p.214
Confessions in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I
pp. 1487-1488
L'intention et la lettre de ce passage sont à rapprocher d'une autre page des Confessions (p. 444. Cf. aussi la note des éditeurs).
Cited in De la grammatologie p.214
Confessions in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I
p. 269
Et de celle dans laquelle nous découpons ces lignes : « Car lire en mangeant fut toujours ma fantaisie au défaut d'un tête-à-tête. C'est le supplément de la société qui me manque. Je dévore alternativement une page et un morceau, c'est comme si mon livre dînait avec moi » (p. 269).
Cited in De la grammatologie p.214
Confessions in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I
p. 1282
Voir aussi les Confessions (p. 109, note des éditeurs).
Cited in De la grammatologie p.217
Confessions in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I
p. 1407
Starobinski (La transparence et l'obstacle, p. 221) et les éditeurs des Confessions (p. 332, note 1) rapprochent justement l'usage du mot supplément de celui qui en est fait p. 109 (« supplément dangereux »).
Cited in De la grammatologie p.218
La Transparence et l'Obstacle
1957
p. 221
Starobinski (La transparence et l'obstacle, p. 221) et les éditeurs des Confessions (p. 332, note 1) rapprochent justement l'usage du mot supplément de celui qui en est fait p. 109 (« supplément dangereux »).
Cited in De la grammatologie p.218
Grammaire générale et raisonnée de Port-Royal par Arnaud et Lancelot ; Précédée d'un Essai sur l'origine et les progrès de la Langue française, par M. Petitot ; suivie du Commentaire de M. Duclos
1803
Nous nous référerons à l'édition suivante : Grammaire générale et raisonnée de Port-Royal, par Arnaud et Lancelot ; Précédée d'un Essai sur l'origine et les progrès de la Langue française, par M. Petitot, et suivie du Commentaire de M. Duclos, auquel on a ajouté des notes. Perlet An XI.-1803.
Cited in De la grammatologie p.231
Fragment d'un Essai sur les langues
1861
L'écho le plus précis de ce texte se trouve, en dehors de l'Essai, dans les notes groupées dans l'édition de la Pléiade sous le titre Prononciation (T. II, p. 1248) et, dans l'édition Streickeisen-Moultou, sous le titre Fragment d'un Essai sur les langues.
Cited in De la grammatologie p.232
Prononciation in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. II
p. 1248
L'écho le plus précis de ce texte se trouve, en dehors de l'Essai, dans les notes groupées dans l'édition de la Pléiade sous le titre Prononciation (T. II, p. 1248) et, dans l'édition Streickeisen-Moultou, sous le titre Fragment d'un Essai sur les langues.
Cited in De la grammatologie p.232
Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture
1719
Rousseau lie dans sa critique la dégradation des mœurs, la corruption de la prononciation et le progrès de l'écriture. Il cite même des exemples d'altérations auxquels il a eu le triste privilège d'assister, et qui sont dus à un « vice de prononciation dans l'organe, ou dans l'accent, ou dans l'habitude ». « Mots dont j'ai vu changer la prononciation : Charolois — Charolès, secret — segret, persécuter — perzecuter, etc. ». Tous ces thèmes renvoient aussi à l'abbé Du Bos, Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture (1719).
Cited in De la grammatologie p.232
Rousseau et la science politique de son temps
1950
p. 146
C'est aussi l'avis de R. Derathé, du moins en ce qui concerne les chapitres IX et X qui sont parmi les plus importants et qui, expliquant la « Formation des langues méridionales » et la « Formation des langues du nord », développent des thèmes fort apparentés à ceux du second Discours.
Cited in De la grammatologie p.235
Jean-Jacques Rousseau: Moralist
1934
p. 66
Vaughan considère ainsi, pour des raisons externes, que l'Essai a été projeté avant le second Discours et même avant le premier Discours (1750).
Cited in De la grammatologie p.236
Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I
pp. 1330-1331
Il s'agit du contenu philosophique du chapitre IX « Formation des langues méridionales ». C'est au sujet de ce chapitre fondamental que R. Derathé et J. Starobinski se séparent. Ils ne se sont certes jamais opposés directement sur ce point. Mais ils lui consacrent l'un et l'autre une note et cette confrontation doit nous aider à éclairer notre problème.
Cited in De la grammatologie p.237
Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I
p. 154
« Je ne crois pas avoir aucune contradiction à craindre, en accordant à l'homme la seule vertu Naturelle qu'ait été forcé de reconnaître le Détracteur le plus outré des vertus humaines ».
Cited in De la grammatologie p.237
Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes in Oeuvres complètes de J.-J. Rousseau, vol. I
p. 154
Les exemples choisis par Rousseau ne nous sont pas indifférents : « Sans parler de la tendresse des Mères pour leurs petits, et des périls qu'elles bravent, pour les en garantir, on observe tous les jours la répugnance qu'ont les Chevaux à fouler aux pieds un Corps vivant ; Un animal ne passe point sans inquiétude auprès d'un animal mort de son Espèce : Il y en a même qui leur donnent une sorte de sépulture ; Et les tristes mugissements du Bétail entrant dans une Boucherie, annoncent l'impression qu'il reçoit de l'horrible spectacle qui le frappe. On voit avec plaisir l'auteur de la Fable des abeilles, forcé de reconnaître l'homme pour un Etre compatissant et sensible, sortir dans l'exemple qu'il en donne, de son style froid et subtil, pour nous offrir la pathétique image d'un homme enfermé qui aperçoit au dehors une Bête féroce, arrachant un Enfant du sein de sa Mère, brisant sous sa dent meurtrière les faibles membres, et déchirant de ses ongles les entrailles de cet Enfant. Quelle affreuse agitation n'éprouve point ce témoin d'un événement auquel il ne prend aucun intérêt personnel ? Quelles angoisses ne souffre-t-il pas à cette vue, de ne pouvoir porter aucun secours à la Mère évanouie, ni à l'Enfant expirant ? Tel est le pur mouvement de la Nature, antérieur à toute réflexion... ».
Cited in De la grammatologie p.238
Le Rationalisme de J.-J. Rousseau
1948
pp. 99-100
Nous nous demandons si l'on peut sur ce point opposer, comme le fait R. Derathé, la doctrine de l'Emile et celle du second Discours (« ...dans l'Emile la pitié devient un sentiment dérivé de l'amour de soi alors que le second Discours opposait ces deux principes l'un à l'autre... » Le rationalisme de J.-J. Rousseau, pp. 99-100).
Cited in De la grammatologie p.240